Dernier jour à Beijing

Mercredi 24/10/2007.

Petit déjeuner à l'hôtel : il n' y a que des touristes.

Couple assis devant une boutiqueHutongVélo

Départ pour le temple des Lamas, puis métro pour rejoindre la Cité Interdite : notre première visite, en fin de mois de septembre, nous avait laissés sur notre faim.

Temple des LamasJardin du temple des LamasCité Interdite

Soldats de la Cité InterditeCité InterditeCité Interdite

Cité InterditeCité InterditeCité Interdite

Les préparatifs pour les jeux olympiques s'accélèrent : sur la place Tienanmen ont été installés des arbrisseaux auxquels on a donné la forme de sportifs, on s'y croirait. Une fois la visite de la Cité terminée, je passe au parc Beihai, avec son immense stupa. Le dîner se fera dans un bon petit restaurant (le Sichuan). Heureusement, parmi les dîneurs, il y a un Chinois suisse/allemand : il va nous aider à faire le choix des ingrédients, car nous avons décidé de manger une fondue. C'est quand même bien pratique l'allemand à Beijing (merci à Jean, notre interprète!). A noter que dans le bureau du directeur, il y a encore une photo de Mao (on ne trouve plus guère de Mao en dehors des échoppes d'antiquaires, à l'exception du portrait immense, affiché place Tienanmen et le petit livre rouge est encore proposé dans les bazars avec un large sourire !).

Mercredi 25/10/2007. Le retour à Paris

Un taxi pour l'aéroport : l'autoroute à trois voies est divisée de telle manière que deux voies ont une vitesse limitée à 100 Km/h et la troisième à 120 Km/h. Arrivés à l'aéroport, nous faisons du change à l'envers, et nous avons fortement l'impression que le caissier s'est trompé en notre faveur ! Parait qu'il y a une grève d'Air France à Paris; nous, on croit qu'il s'agit d'une grève du personnel au sol, non, il s'agit, nous le saurons plus tard, d'une grève des personnels commerciaux navigants (traduire, les hôtesses). Pour l'heure, l'enregistrement est quelque peu perturbé : j'en profite pour discuter avec une jeune Française qui travaille en Chine. Elle me confirme que les prix sont tout à fait déraisonnables à Beijing, que c'est pratiquement aussi cher qu'à Paris. Elle se demande comment font les gens pour consommer autant. Retour à Paris : à l'arrivée, 79 kilos, versus 81,4 !

Jean et Jean-MarieMarie