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Âmes sensibles européennes s'abstenir, si vous n'êtes pas prêt à connaître la vérité sur vos préjugés... les constations objectives sont ici de mise.
Si par contre vous voulez comprendre comment ça fonctionne ici, vous êtes au bon endroit.
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Hubert Mansion, ex-membre du groupe de musique LÉOPOLD NORD ET VOUS, maintenant établi à Montréal, a écrit un guide qui s'intitule «Guide de survie des Européens à Montréal». Dans la même lignée que l'autre bouquin dont il a été question dans une autre discussion, voilà une autre personne qui frappe un mur et qui se casse la gueule dans des remarques tout aussi insignifiantes qu'imbéciles. Méfiez-vous de ces personnes qui habite à un endroit depuis moins de 5 ans et qui prétendent tout connaître d'un pays ou d'un peuple.
Tout d'abord, sachez qu'au Québec, les mots chien chaud et hambourgeois n'existent pas, sauf dans le monde imaginaire de quelques irréductibles Européens qui cherchent constamment à rapporter n'importe quoi pour se rendre intéressant.
HOT DOG et HAMBURGER sont utilisés comme mots d'usage et n'ayez crainte, personne ne se nourris que de cela.
Les pharmacies
Les pharmacies de coin de rue sont plutôt rares à Montréal depuis 1967. JEAN-COUTU, pharmacien et propriétaire de la chaîne du même nom, a été le premier pharmacien à vouloir vendre autre chose que des médicaments dans son commerce (produits de soins personnels et corporels, savon, shampoing, crèmes, cosmétiques, etc)
L'ordre des pharmaciens du Québec lui a refusé cette demande. M. Coutu à donc décidé de créer un magasin à rayon AVEC un comptoir de pharmacie à l'arrière. Donc, ce sont les pharmacies qui sont intégrées dans les magasin et non l'inverse. Ainsi, aujourd'hui, JEAN-COUTU, UNIPRIX, FAMILIPRIX, PROXIM et PHARMAPRIX, sont des chaînes calquées sur le modèle de JEAN-COUTU et elles sont communément appelées «Pharmacies». Donc, légalement, ces magasins sont enregistrés comme des magasins à rayons et non comme des pharmacies.
Bureaux de poste
Un autre sujet qui déboussole les Européens. Postes Canada a depuis plus de 30 ans, intégré des bureaux de postes à des commerces en raison de compressions et aussi pour diminuer les coûts d'exploitation.
Ne soyez donc pas surpris de devoir aller chercher un colis chez JEAN-COUTU. Si seulement l'auteur avait pris le temps de se renseigner, il aurait compris au lieu de dire que les pharmacies sont des magasins à rayon où l'on vend des timbres...
Hypermarché
Un mot qui n'existe pas au Québec car ici on appelle cela un SUPERMARCHÉ et on n'y vend que de l'alimentaire et ça existe depuis 1935.
Boulangerie, pâtisserie et traiteur
Pas aussi nombreuses que dans les villes Européenne, il en existe tout de même. Il n'est pas rare qu'une boulangerie offre également des pâtisseries et peut-être même en plus, un service de traiteur. On appelle cela des services diversifiés et c'est ce qui leur permet de survivre parce que les commerces segmentés et spécialisés sont presque toujours condamnés à la faillite.
Parking
Si vous dites le mot parking, cela implique également que vous devez parquer votre voiture o)) Ce mot est anglais et n'est pas utilisé à grande échelle (sauf pour des gens qui n'ont pas de vocabulaire ou paresseux intellectuellement), on dit stationnement. On stationne notre voiture, on gare notre voiture et on parque notre char (bagnole) o))
Pour les zones de stationnement règlementées, je ne pige pas sont histoire de : Tout ce qui n'est pas autorisé est sanctionné (c'est nord-américain)... !?!?! Euhhh les lois et règlements qui ne sont pas respectés sont punis partout dans le monde.
Toilettes publiques
Sur la rue ou dans les stations de Métro il n'y a pas de toilettes publiques de type vespasienne et c'est une excellente chose. Ainsi, pas de pervers et d'endroits sales qui puent. Malgré l'absence de toilettes, je n'ai jamais vu aucune déjections corporelles nul part. N'ayez crainte, personne de ne porte de culotte d'aisance, mais semble plutôt faire preuve d'un retenue exemplaire... o))
Malgré la présence de toilettes publiques à Paris, j'ai été traumatisé par la quantité phénoménale de personnes qui trouvent le moyen d'uriner partout dans les moindres recoins. Ne croyez pas qu'il s'agit de marques d'urine de chiens, c'est bel et bien de l'urine humaine (odeur). J'ai même vu des tas de m... dans des recoins du Métro à Paris.
L'auteur cite toutefois ceci, à vous de juger se vous êtes d'accord ou non :
«Veillons à ne pas importer ici notre stress parisien, notre déprime belge, notre agressivité Européenne et toutes ces mauvaises habitudes qui pourrissent notre vie.»
J'ajouterais : cessons de comparer continuellement nos modes de vie avec les pays étrangers.
Si par contre vous voulez comprendre comment ça fonctionne ici, vous êtes au bon endroit.
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Hubert Mansion, ex-membre du groupe de musique LÉOPOLD NORD ET VOUS, maintenant établi à Montréal, a écrit un guide qui s'intitule «Guide de survie des Européens à Montréal». Dans la même lignée que l'autre bouquin dont il a été question dans une autre discussion, voilà une autre personne qui frappe un mur et qui se casse la gueule dans des remarques tout aussi insignifiantes qu'imbéciles. Méfiez-vous de ces personnes qui habite à un endroit depuis moins de 5 ans et qui prétendent tout connaître d'un pays ou d'un peuple.
Tout d'abord, sachez qu'au Québec, les mots chien chaud et hambourgeois n'existent pas, sauf dans le monde imaginaire de quelques irréductibles Européens qui cherchent constamment à rapporter n'importe quoi pour se rendre intéressant.
HOT DOG et HAMBURGER sont utilisés comme mots d'usage et n'ayez crainte, personne ne se nourris que de cela.
Les pharmacies
Les pharmacies de coin de rue sont plutôt rares à Montréal depuis 1967. JEAN-COUTU, pharmacien et propriétaire de la chaîne du même nom, a été le premier pharmacien à vouloir vendre autre chose que des médicaments dans son commerce (produits de soins personnels et corporels, savon, shampoing, crèmes, cosmétiques, etc)
L'ordre des pharmaciens du Québec lui a refusé cette demande. M. Coutu à donc décidé de créer un magasin à rayon AVEC un comptoir de pharmacie à l'arrière. Donc, ce sont les pharmacies qui sont intégrées dans les magasin et non l'inverse. Ainsi, aujourd'hui, JEAN-COUTU, UNIPRIX, FAMILIPRIX, PROXIM et PHARMAPRIX, sont des chaînes calquées sur le modèle de JEAN-COUTU et elles sont communément appelées «Pharmacies». Donc, légalement, ces magasins sont enregistrés comme des magasins à rayons et non comme des pharmacies.
Bureaux de poste
Un autre sujet qui déboussole les Européens. Postes Canada a depuis plus de 30 ans, intégré des bureaux de postes à des commerces en raison de compressions et aussi pour diminuer les coûts d'exploitation.
Ne soyez donc pas surpris de devoir aller chercher un colis chez JEAN-COUTU. Si seulement l'auteur avait pris le temps de se renseigner, il aurait compris au lieu de dire que les pharmacies sont des magasins à rayon où l'on vend des timbres...
Hypermarché
Un mot qui n'existe pas au Québec car ici on appelle cela un SUPERMARCHÉ et on n'y vend que de l'alimentaire et ça existe depuis 1935.
Boulangerie, pâtisserie et traiteur
Pas aussi nombreuses que dans les villes Européenne, il en existe tout de même. Il n'est pas rare qu'une boulangerie offre également des pâtisseries et peut-être même en plus, un service de traiteur. On appelle cela des services diversifiés et c'est ce qui leur permet de survivre parce que les commerces segmentés et spécialisés sont presque toujours condamnés à la faillite.
Parking
Si vous dites le mot parking, cela implique également que vous devez parquer votre voiture o)) Ce mot est anglais et n'est pas utilisé à grande échelle (sauf pour des gens qui n'ont pas de vocabulaire ou paresseux intellectuellement), on dit stationnement. On stationne notre voiture, on gare notre voiture et on parque notre char (bagnole) o))
Pour les zones de stationnement règlementées, je ne pige pas sont histoire de : Tout ce qui n'est pas autorisé est sanctionné (c'est nord-américain)... !?!?! Euhhh les lois et règlements qui ne sont pas respectés sont punis partout dans le monde.
Toilettes publiques
Sur la rue ou dans les stations de Métro il n'y a pas de toilettes publiques de type vespasienne et c'est une excellente chose. Ainsi, pas de pervers et d'endroits sales qui puent. Malgré l'absence de toilettes, je n'ai jamais vu aucune déjections corporelles nul part. N'ayez crainte, personne de ne porte de culotte d'aisance, mais semble plutôt faire preuve d'un retenue exemplaire... o))
Malgré la présence de toilettes publiques à Paris, j'ai été traumatisé par la quantité phénoménale de personnes qui trouvent le moyen d'uriner partout dans les moindres recoins. Ne croyez pas qu'il s'agit de marques d'urine de chiens, c'est bel et bien de l'urine humaine (odeur). J'ai même vu des tas de m... dans des recoins du Métro à Paris.
L'auteur cite toutefois ceci, à vous de juger se vous êtes d'accord ou non :
«Veillons à ne pas importer ici notre stress parisien, notre déprime belge, notre agressivité Européenne et toutes ces mauvaises habitudes qui pourrissent notre vie.»
J'ajouterais : cessons de comparer continuellement nos modes de vie avec les pays étrangers.