
Transports au Maroc – les déplacements en ville.
N’hésitez pas à complèter et à mettre à jour ces informations, elles peuvent être utiles à beaucoup de forumistes.
En ville, la marche à pied permet beaucoup de choses, mais pas tout, surtout si la ville est vaste , et que les centres d’intérét sont éloignés les uns des autres.
Les petits taxis sont une alternative peu couteuse et assez simple, quoique ?? leur mode d’emploi est parfois incompréhensible à un esprit cartésien.
Usage simple, vous hélez un taxi vide, vous montez à la place du mort, vous annoncez une destination , de préférence un nom de rue ou un nom de magasin , surtout pas un endroit touristique, et le compteur est remis à zero, arrivé à destination après une petite conversation, vous payez ce qui est affiché au compteur, plus un éventuel pourboire.
Usage moins simple, le chauffeur vous a pris pour le touriste à plumer, vous avez annoncé « je vais à la place », c’est combien ?? il va vous annoncer entre 5 et 20 fois le tarif réel, et vous n’etes pas arrivé !!! je n’ai aucun remède !! ou vous acceptez ou vous haussez les épaules et essayez la solution précédente.
Usage courant , mais dépassant ma compréhension : le taxi qui s’arrète a déjà des passagers et accepte de vous prendre, ou prend du monde en route , je n’ai jamais compris qui paye et quoi, j’assaye de donner d’office ce qui dans ma tête correspond au prix de ma course, et jamais on ne m’a fait la moindre remarque.
Dans certaines villes, les tarifs sont fixes , quelque soit la course, Ouarzazate , par exemple, ou pour 5 dh on va d’un bout à l’autre de la ville.
Les bus , très pratiques, encore moins cher, entre 3 et 5 dh intra muros selon les villes, et augmentent parfois pour les banlieues lointaines.
Le problème , partout, est qu’il n’y a pas de plans affichés, d’arrèts matérialisés, et dans ces cas , il ne faut pas hésiter à demander , beaucoup de gens savent, un arrèt, c’est là oû quelques personnes sont regroupées au bord d’un trottoir.
Les transports hippomobiles : folklorique , mais très utilisés par les familles marocaines pour ramener les courses.
Sous forme de calèche à Essaouira et Tarroudant (et même à Marrakech , elles ne sont pas que pour les touristes).
Sous forme rustique de plateau tiré par un cheval ou on prend place sur le bord les jambes pendantes, dans certaines banlieues populaires ou entre la ville et le souk.
Pour quelques pièces.
Le vélo , excellent , mais à éviter à Marrakech et Casa, l’espérance de vie d’un cycliste ne dépasse pas quelques kilomètres.
Il est dommage que certains aigrefins louent des vélos aussi cher que des voitures.
N’hésitez pas à complèter et à mettre à jour ces informations, elles peuvent être utiles à beaucoup de forumistes.
En ville, la marche à pied permet beaucoup de choses, mais pas tout, surtout si la ville est vaste , et que les centres d’intérét sont éloignés les uns des autres.
Les petits taxis sont une alternative peu couteuse et assez simple, quoique ?? leur mode d’emploi est parfois incompréhensible à un esprit cartésien.
Usage simple, vous hélez un taxi vide, vous montez à la place du mort, vous annoncez une destination , de préférence un nom de rue ou un nom de magasin , surtout pas un endroit touristique, et le compteur est remis à zero, arrivé à destination après une petite conversation, vous payez ce qui est affiché au compteur, plus un éventuel pourboire.
Usage moins simple, le chauffeur vous a pris pour le touriste à plumer, vous avez annoncé « je vais à la place », c’est combien ?? il va vous annoncer entre 5 et 20 fois le tarif réel, et vous n’etes pas arrivé !!! je n’ai aucun remède !! ou vous acceptez ou vous haussez les épaules et essayez la solution précédente.
Usage courant , mais dépassant ma compréhension : le taxi qui s’arrète a déjà des passagers et accepte de vous prendre, ou prend du monde en route , je n’ai jamais compris qui paye et quoi, j’assaye de donner d’office ce qui dans ma tête correspond au prix de ma course, et jamais on ne m’a fait la moindre remarque.
Dans certaines villes, les tarifs sont fixes , quelque soit la course, Ouarzazate , par exemple, ou pour 5 dh on va d’un bout à l’autre de la ville.
Les bus , très pratiques, encore moins cher, entre 3 et 5 dh intra muros selon les villes, et augmentent parfois pour les banlieues lointaines.
Le problème , partout, est qu’il n’y a pas de plans affichés, d’arrèts matérialisés, et dans ces cas , il ne faut pas hésiter à demander , beaucoup de gens savent, un arrèt, c’est là oû quelques personnes sont regroupées au bord d’un trottoir.
Les transports hippomobiles : folklorique , mais très utilisés par les familles marocaines pour ramener les courses.
Sous forme de calèche à Essaouira et Tarroudant (et même à Marrakech , elles ne sont pas que pour les touristes).
Sous forme rustique de plateau tiré par un cheval ou on prend place sur le bord les jambes pendantes, dans certaines banlieues populaires ou entre la ville et le souk.
Pour quelques pièces.
Le vélo , excellent , mais à éviter à Marrakech et Casa, l’espérance de vie d’un cycliste ne dépasse pas quelques kilomètres.
Il est dommage que certains aigrefins louent des vélos aussi cher que des voitures.