E
Saint-Martin est une petite île des Antilles, dépendante de la Guadeloupe.
St-Martin est une île aux caratéristiques hors du commun. En effet, St-Martin est l'île la plus active de l'archipel des îles au vent. C'est une zone franche: pas de taxes sur les produits importés, pas de douanes non-plus. On y retrouve les meilleurs prix sur l'essence, les alcools et tabacs ainsi que sur l'électronique. Cette île est divisée en deux par une ligne virtuelle: un côté Français et un côté Hollandais. Du côté français l'architecture, la monnaie et le langage rappellent la France mais la présence de l'amérique se sent, le US dollar y est partout accepté. Beaucoup de bons restaurants français et créole, notamment à Grand-Case (mets créoles) et dans la Marina "Port la Royale" de Marigot au bord de l'étang de Simsonbay. Plusieurs complexes hôtelliers et condos à Orient Bay (une des plus belles plages de St-Martin). Du côté Hollandais les casinos, la pizza, les supermarchés avec les produits américains sont bien en vue! Le Night Life de St-Martin est très animé, il y a beaucoup de jeunes sur l'île et ça se voit. Il y a aussi beaucoup d'activités Nautique, par exemple, la régate Heineken qui attire chaque année des milliers de personnes venues prendre part à cette régate.
Voici une petite histoire de St-Martin :
Il était une fois une île, émeraude posée sur le bleu turquoise de la mer caraïbe, juste en haut de l'arc-en-ciel qui forme l'archipel Antillais.
Île charnière entre les grandes et les petites Antilles, elle a été appelée successivement : Oualichi (l'île aux femmes), puis Soualiga (l'île au sel) par les amérindiens, St-Martin par les français, Sint-Maarten par les Hollandais et Friendly Island par les premiers touristes dans les années 60.
À la seule évocation de son nom, le ton est donné, et avant même d'attérir, vous savez que l'ennui ne sera pas du voyage. Car cette île ne ressemble à aucune autre, une frontière symbolique, 2 aéroports, 4 musées, 3 monnaies, 5 langues véhiculaires, plus de 30 plages et 110 nationalités qui ont enterrées la hache de guerre et coexistent pacifiquement, à l'instar des premiers amérindiens qui ont posé le pied sur l'île il y a 2500 ans et dont l'histoire est relaté au Musée de Marigot qui porte un nom au titre de B.D. "Sur la trace des Arawaks"... L'histoire de cette île a commencé bien avant Christophe Colomb et que ces Tainos (Arawaks) et Caraïbes, venus du Vénézuela via l'Orénoque dans leur grandes pirogues, aient élu domicile à Hope State ou à l'anse des Pères, se nourissant plus de coquillages marins, de rats, de bernards-l'ermites écrasés finement et mélangé au piment et à la farine de manioc, que de chair humaine qu'ils ne dédaignaient cependant pas. Selon un moine chroniqueur du 15ième siècle, les Caraïbes avaient même établis une hiérarchie du goût et ils estimaient la chair des espagnols trop coriace, tandis que celle des français était très apréciée pour son moelleux. Quant aux anglais, ils y goutèrent une seule fois et faillirent en mourrir d'indigestion, ce qui sauva la vie de nombreux anglo-saxons par la suite, car ils n'y toucherent plus !
C'est maintenant le temps de venir découvrir cette île étonnante qui vous réservera un accueil digne de sa réputation et dont les mille et une facettes vont vous surprendre agréablement.
N'hésitez pas à réagir et à compléter cet article.
Source : article sous licence CopyLeft
St-Martin est une île aux caratéristiques hors du commun. En effet, St-Martin est l'île la plus active de l'archipel des îles au vent. C'est une zone franche: pas de taxes sur les produits importés, pas de douanes non-plus. On y retrouve les meilleurs prix sur l'essence, les alcools et tabacs ainsi que sur l'électronique. Cette île est divisée en deux par une ligne virtuelle: un côté Français et un côté Hollandais. Du côté français l'architecture, la monnaie et le langage rappellent la France mais la présence de l'amérique se sent, le US dollar y est partout accepté. Beaucoup de bons restaurants français et créole, notamment à Grand-Case (mets créoles) et dans la Marina "Port la Royale" de Marigot au bord de l'étang de Simsonbay. Plusieurs complexes hôtelliers et condos à Orient Bay (une des plus belles plages de St-Martin). Du côté Hollandais les casinos, la pizza, les supermarchés avec les produits américains sont bien en vue! Le Night Life de St-Martin est très animé, il y a beaucoup de jeunes sur l'île et ça se voit. Il y a aussi beaucoup d'activités Nautique, par exemple, la régate Heineken qui attire chaque année des milliers de personnes venues prendre part à cette régate.
Voici une petite histoire de St-Martin :
Il était une fois une île, émeraude posée sur le bleu turquoise de la mer caraïbe, juste en haut de l'arc-en-ciel qui forme l'archipel Antillais.
Île charnière entre les grandes et les petites Antilles, elle a été appelée successivement : Oualichi (l'île aux femmes), puis Soualiga (l'île au sel) par les amérindiens, St-Martin par les français, Sint-Maarten par les Hollandais et Friendly Island par les premiers touristes dans les années 60.
À la seule évocation de son nom, le ton est donné, et avant même d'attérir, vous savez que l'ennui ne sera pas du voyage. Car cette île ne ressemble à aucune autre, une frontière symbolique, 2 aéroports, 4 musées, 3 monnaies, 5 langues véhiculaires, plus de 30 plages et 110 nationalités qui ont enterrées la hache de guerre et coexistent pacifiquement, à l'instar des premiers amérindiens qui ont posé le pied sur l'île il y a 2500 ans et dont l'histoire est relaté au Musée de Marigot qui porte un nom au titre de B.D. "Sur la trace des Arawaks"... L'histoire de cette île a commencé bien avant Christophe Colomb et que ces Tainos (Arawaks) et Caraïbes, venus du Vénézuela via l'Orénoque dans leur grandes pirogues, aient élu domicile à Hope State ou à l'anse des Pères, se nourissant plus de coquillages marins, de rats, de bernards-l'ermites écrasés finement et mélangé au piment et à la farine de manioc, que de chair humaine qu'ils ne dédaignaient cependant pas. Selon un moine chroniqueur du 15ième siècle, les Caraïbes avaient même établis une hiérarchie du goût et ils estimaient la chair des espagnols trop coriace, tandis que celle des français était très apréciée pour son moelleux. Quant aux anglais, ils y goutèrent une seule fois et faillirent en mourrir d'indigestion, ce qui sauva la vie de nombreux anglo-saxons par la suite, car ils n'y toucherent plus !
C'est maintenant le temps de venir découvrir cette île étonnante qui vous réservera un accueil digne de sa réputation et dont les mille et une facettes vont vous surprendre agréablement.
N'hésitez pas à réagir et à compléter cet article.
Source : article sous licence CopyLeft