Plusieurs voyageurs envisageant le Népal comme future destination s'interrogent sans doute sur l'aspect sécuritaire d'un voyage là-bas en raison de la guérilla maoïste sévissant dans certaines régions népalaises qui défraie de temps à autre les manchettes. Qu'en est-il vraiment ?
Conseils "officiels" aux voyageurs
Le Ministère des Affaires étrangères français recommande la plus grande prudence à ceux qui envisagent partir en voyage au Népal. Le Ministère des Affaires extérieures canadien quant à lui suggère d'éviter tout voyage non essentiel au Népal en raison de l'instabilité politique qui y règne.
Observations
Plusieurs sources fiables indiquent qu'aucun touriste n'a été la cible de violence de la part de la guérilla maoïste. Le chef de la guérilla a même affirmé ne pas vouloir s'en prendre aux touristes qui n'ont rien à voir dans ce conflit interne et qui représentent une source de revenus importante pour le pays déjà au prise avec un problème de pauvreté chronique.
Dans certaines régions où ils sont présents, les rebelles maoïstes prélèvent toutefois une "taxe volontaire" de 100 roupies par jour de trek et délivrent un "permis" afin que les trekkers ne soient plus inquiétés sur le parcours. Cette taxe représente une quinzaine d'Euros en moyenne pour un trek. Cette information a été corroborée par plusieurs sources dont la revue Trek Magazine récemment.
On dit par ailleurs que le pays fait face de temps à autre à des grèves généralisées, habituellement de courte durée, qui paralysent notamment les transports. Ces grèves peuvent causer de nombreux désagréments si le séjour est planifié trop serré.
Suggestions
Toutes les sources consultées suggèrent aux voyageurs planifiant un voyage au Népal de suivre de près la situation, particulièrement au cours des dernières semaines précédant le voyage. Prudence élémentaire il va sans dire. Advenant une rencontre avec des rebelles maoïstes lors d'un trekking, est-il nécessaire de préciser qu'il vaut mieux payer la "taxe" exigée sans discuter. La somme est assez négligeable : moindre que le coût du permis officiel exigé pour pénétrer dans l'un des parcs nationaux népalais.
Aziman
Conseils "officiels" aux voyageurs
Le Ministère des Affaires étrangères français recommande la plus grande prudence à ceux qui envisagent partir en voyage au Népal. Le Ministère des Affaires extérieures canadien quant à lui suggère d'éviter tout voyage non essentiel au Népal en raison de l'instabilité politique qui y règne.
Observations
Plusieurs sources fiables indiquent qu'aucun touriste n'a été la cible de violence de la part de la guérilla maoïste. Le chef de la guérilla a même affirmé ne pas vouloir s'en prendre aux touristes qui n'ont rien à voir dans ce conflit interne et qui représentent une source de revenus importante pour le pays déjà au prise avec un problème de pauvreté chronique.
Dans certaines régions où ils sont présents, les rebelles maoïstes prélèvent toutefois une "taxe volontaire" de 100 roupies par jour de trek et délivrent un "permis" afin que les trekkers ne soient plus inquiétés sur le parcours. Cette taxe représente une quinzaine d'Euros en moyenne pour un trek. Cette information a été corroborée par plusieurs sources dont la revue Trek Magazine récemment.
On dit par ailleurs que le pays fait face de temps à autre à des grèves généralisées, habituellement de courte durée, qui paralysent notamment les transports. Ces grèves peuvent causer de nombreux désagréments si le séjour est planifié trop serré.
Suggestions
Toutes les sources consultées suggèrent aux voyageurs planifiant un voyage au Népal de suivre de près la situation, particulièrement au cours des dernières semaines précédant le voyage. Prudence élémentaire il va sans dire. Advenant une rencontre avec des rebelles maoïstes lors d'un trekking, est-il nécessaire de préciser qu'il vaut mieux payer la "taxe" exigée sans discuter. La somme est assez négligeable : moindre que le coût du permis officiel exigé pour pénétrer dans l'un des parcs nationaux népalais.
Aziman