K
Salut à vous internautes je vais me rendre cette année au quebec dans une ville qui se nomme St Jean ... pour y retrouver un ami d'enfance, boulanger de son état.
Alors pourquoi ne pas prendre l'avion, c'est plus simple, je pourrais lui communiquer avec certitude mon arrivé, ainsi que la date et l'heure, ce qui est en de nombreux points avantageux ?
Pourquoi alors suis- je dans une station des alpes ( je suis commis de cuisine ) et que je ne ski pas sur les pistes ( le forfait saison est pourtant très abordable ) que je préfères transpirer et me prendre la "grévole"( tremblement fortuit et irrépressible des genoux qui nous indique que l'on a pas le droit à l'erreur) ?
Je pense que c'est parce que les seules personnes que je croise sur les cîmes partage ce même respect pour l'immensité, le silence , et le danger que recèle ces coins du monde.
Je pense que c'est pour cela que je désire m'y rendre sur un bateau.
Il faudrait que j'embarque avec moi un ami, qui perdu de son trop plein de qualité, n'arrive à trouver sa voie dans se monde, non qu'il ne cherche, mais certainement pas là où il faudrait.
Or son grand-père est un sculteur sur bois admirable, et j'ai déjà vu ce compagnon avec un bout de bois et un couteau dans la main, je sais qu'il a çà dans le sang.
St Jean, outre le fait qu'un ami m'y attende, est une bourgade qui compte quelques 200 sculteurs pour 5000 âmes. Si je ne le mène pas là-bas qui le feras ?
Donc la mer, le bois, suivre un sillage qui me parraît évident, sauf que je n'ai aucune idée de comment réaliser cette épopée ( c'est plus simple en ski, on se renseigne au pisteur du coin et on y vas).
Pourriez vous m'y aidez par toutes formes qui vous parraîtrais probante ?
Merci.
Alors pourquoi ne pas prendre l'avion, c'est plus simple, je pourrais lui communiquer avec certitude mon arrivé, ainsi que la date et l'heure, ce qui est en de nombreux points avantageux ?
Pourquoi alors suis- je dans une station des alpes ( je suis commis de cuisine ) et que je ne ski pas sur les pistes ( le forfait saison est pourtant très abordable ) que je préfères transpirer et me prendre la "grévole"( tremblement fortuit et irrépressible des genoux qui nous indique que l'on a pas le droit à l'erreur) ?
Je pense que c'est parce que les seules personnes que je croise sur les cîmes partage ce même respect pour l'immensité, le silence , et le danger que recèle ces coins du monde.
Je pense que c'est pour cela que je désire m'y rendre sur un bateau.
Il faudrait que j'embarque avec moi un ami, qui perdu de son trop plein de qualité, n'arrive à trouver sa voie dans se monde, non qu'il ne cherche, mais certainement pas là où il faudrait.
Or son grand-père est un sculteur sur bois admirable, et j'ai déjà vu ce compagnon avec un bout de bois et un couteau dans la main, je sais qu'il a çà dans le sang.
St Jean, outre le fait qu'un ami m'y attende, est une bourgade qui compte quelques 200 sculteurs pour 5000 âmes. Si je ne le mène pas là-bas qui le feras ?
Donc la mer, le bois, suivre un sillage qui me parraît évident, sauf que je n'ai aucune idée de comment réaliser cette épopée ( c'est plus simple en ski, on se renseigne au pisteur du coin et on y vas).
Pourriez vous m'y aidez par toutes formes qui vous parraîtrais probante ?
Merci.