S
Je me nomme Samuel, j' ai 25 ans.
J' ai longuement hésité avant de mettre ce post en ligne, sur ce forum.
Il n' est plus question, pour moi du moins, de crier à la souffrance ou à l' enfermement, en cette société qui broie et détruit les individus qui y sont inadaptés.
J' ai beaucoup voyagé et ai essayé d' apprendre non seulement des autres mais aussi de moi-même.
J' ai acquis certaines choses, certaines conceptions, mais ne sais pas si cela reste suffisant.
J' ai consulté beaucoup de posts, sur ce forum, dans cette rubrique.
J' ai constaté avec neutralité, sans ressentiment particulier, que pour beaucoup, quitter son existence actuelle, qui apparemment ressemble à de la survie sous assistance, en parcourant la Terre, relève plus d' un phantasme les poussant à l' extrême, dont une certaine peur fait partie, incontestablement.
Le point où je veux en venir, est qu' il y a un moment, où la souffrance que crée l' immobilisme et la frustration, n' à plus d' appellation. Il n' y a plus d' autre alternative que partir...
Pour certains, il est important de créer, de construire, de laisser une emprunte quelconque. Pour d' autres, il y a autre chose, le plus souvent inexplicable.
J' ai eu le choix et l' ai toujours, d' une situation sociale très respectable, voir cossu, malgré qu' au fond, le dégoût me submerge.
Partir n' est pas seulement une fuite devant des problèmes et donc, aussi, devant soi-même. C' est l' aboutissement d' une concrétisation spirituelle qui ne laisse pas de trace, un cheminement désintéréssé à travers et en les travers du Monde, le résultat d' une Unité, à savoir, soi et les "autres". Appelons ca un choix pour faciliter la compréhension du communiquant de l' acte.
A ceux qui voudront en discuter avec moi, je vous y convie, sans philosopher, sans élucubrer, juste échanger, discuter des possibilités, lesquelles pourquoi pas, deviendront nôtre.
Facebook : Samuel Rouyard
Envoyez moi un message indiquant que vous fréquentez e-voyageurs.
[edit admin : email supprimé - merci d'utiliser la MP du forum]
Bien à vous et très fraternellement,
Samuel.
J' ai longuement hésité avant de mettre ce post en ligne, sur ce forum.
Il n' est plus question, pour moi du moins, de crier à la souffrance ou à l' enfermement, en cette société qui broie et détruit les individus qui y sont inadaptés.
J' ai beaucoup voyagé et ai essayé d' apprendre non seulement des autres mais aussi de moi-même.
J' ai acquis certaines choses, certaines conceptions, mais ne sais pas si cela reste suffisant.
J' ai consulté beaucoup de posts, sur ce forum, dans cette rubrique.
J' ai constaté avec neutralité, sans ressentiment particulier, que pour beaucoup, quitter son existence actuelle, qui apparemment ressemble à de la survie sous assistance, en parcourant la Terre, relève plus d' un phantasme les poussant à l' extrême, dont une certaine peur fait partie, incontestablement.
Le point où je veux en venir, est qu' il y a un moment, où la souffrance que crée l' immobilisme et la frustration, n' à plus d' appellation. Il n' y a plus d' autre alternative que partir...
Pour certains, il est important de créer, de construire, de laisser une emprunte quelconque. Pour d' autres, il y a autre chose, le plus souvent inexplicable.
J' ai eu le choix et l' ai toujours, d' une situation sociale très respectable, voir cossu, malgré qu' au fond, le dégoût me submerge.
Partir n' est pas seulement une fuite devant des problèmes et donc, aussi, devant soi-même. C' est l' aboutissement d' une concrétisation spirituelle qui ne laisse pas de trace, un cheminement désintéréssé à travers et en les travers du Monde, le résultat d' une Unité, à savoir, soi et les "autres". Appelons ca un choix pour faciliter la compréhension du communiquant de l' acte.
A ceux qui voudront en discuter avec moi, je vous y convie, sans philosopher, sans élucubrer, juste échanger, discuter des possibilités, lesquelles pourquoi pas, deviendront nôtre.
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Bien à vous et très fraternellement,
Samuel.