Hymme Salvador

Les paroles ont été écrites par le général Juan José Cañas et la musique a été composée par le coronel Juan Aberle en 1856. L'hymne a été adopté le 15 septembre 1879. Toutefois il n'a été reconnu officiellement comme hymne national par le gouvernement du Salvador que le 11 décembre 1953.

        Choeur
        Saluons la patrie fières
        De pouvoir nous dire ses fils;
        Et jurons motivés notre vie,
        Sans repos pour son bien consacrer.



        I.
        De la paix dans la dîte suprême,
        Toujours noble a révé Le Salvador;
        Se fut l'obtenir son éternel problème,
        La conserver est sa plus grande gloire.
        Et avec une foi innébranlable le chemin
        Du progrès il [Le Salvador] s'empresse de suivre,
        Pour emplir son grandiose destin,
        Conquérir un heureux avenir.
        Le protège une barrière ferrée
        Contre le choc de la ruine déloyale,
        Depuis le jour où sur son haut drapeau
        Avec son sang il écrivit : LIBERTE!!



        Choeur  


        II.
        La liberté est son dogme, c'est son guide
        Que mille fois il a réussi à défendre;
        Et autant de fois, de l'audace tyrannie
        Repousser l'audieu pouvoir.
        Douloureuse et sanglante est son histoire,
        Mais louable et brillante à la fois;
        Source légitime de gloire,
        Grande leçon d'arrogance spartiate.
        Il ne s'évanouit pas dans son innée bravoure,
        En chaque homme il y a un héro immortel
        Qui saura se maintenir à la hauteur
        De son ancienne valeur proverbiale.


        III.
        Tous sont dévoués, et fidèles
        Au prestige d'une belliqueuse ardeur
        Avec laquelle toujours ils fauchèrent les lauriers
        De la patrie sauvant l'honneur.
        Respecter les droits étrangers
        Et s'appuyer sur la droite raison
        C'est pour elle [La Patrie], sans maladresse
        Son invariable, plus ferme ambition.
        Et en suivant cette ligne elle s'affaire
        Dévouant son effort tenace,
        En faisant la guerre crûement à la guerre;
       Son harmonie réside dans la paix.  

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