A
Si la devise australienne est « No worries » alors c’est en Australie Occidentale (W.A) et à Perth et sa région plus particulièrement que cela se vérifie le plus. Etant la capitale la plus isolée du monde, ses habitants et ceux des alentours, se sont habitué à vivre en quelque sorte en autarcie. Ce qui fait qu’étant moins en relation directe avec « l’extérieur » ils en sont devenus plus cools !
L’Australie Occidentale est l’état le plus grand du pays et - tout commele reste du territoire - est habité essentiellement le long des côtes. La majeure partie des habitants se concentrent autour de Perth : 1,3 M à Perth pour 1,9 M dans tout l’état.
Perth
La ville a été construite en bord de la Swan River avec à l’ouest de la ville, le très plaisant Kings Park surplombant celle-ci.La banlieue est composée d’endroits tels que Subiaco, dont le marché, tout comme celui de Fremantle, est à la hauteur de sa réputation. Fremantle située à 20 kilomètres au Sud s’est fait connaître pour sa participation à la prestigieuse Coupe de l’America en 1986-1987. Par ailleurs, le port de la ville est le plus important de l’état.
Un des particularités climatiques de Perth est un changement de temps très rapide ; voilà je m’explique : il peut tomber une bonne averse et puis, en raison d’un vent assez fort (surnommé le Freo Dr, le docteur de Fremantle) le sol devient sec en une dizaine de minutes.
En ce qui me concerne mon intérêt pour cette ville et cet état vient tout d’abord de l’établissement de plusieurs membres de ma famille dans les années 70-80. Y étant allé à 3 reprises, j’ai bien évidemment été séduit en premier lieu par le climat exceptionnel et quasi parfait, ainsi que par le côté « Zéro stress » qui plane au dessus de cette région du monde, et qui n’a pas beaucoup de mal à vous enivrer.
Tout le monde n’a d’yeux que pour la côte Est, mais croyez-moi et donnez vous la peine d’aller visiter le W.A, vous ne pourrez qu’être séduits. Il existe aussi une barrière de corail, ne serait-ce que protégeant la petite île de Rottnest Island à une vingtaine de kilomètres au large de Perth ; cette île abrite une faune des plus particulières : les Quokkas, de petits marsupiaux qui en apparence semblent issus d’un croisement entre un kangourou et un rat.
Ce qui est amusant aussi de la part des gens habitant cette région, c’est que pour eux les distances ne sont rien : il est arrivé à un de mes cousins de nous proposer de nous amener visiter les Pinnacles dans le Nambung National Park, à environ 270 kilomètres au nord de Perth, tout ça pour pouvoir y passer la nuit (et oui le départ vers ce lieu s’est fait à presque 16h) ainsi que profiter du lever du soleil le lendemain matin dans ce paysage lunaire.
Paradoxalement, cet état n’est pas qu’un vaste désert, un endroit essentiellement sec, mais en descendant vers le Sud, les températures se rafraîchissent, bon d’accord ce n’est pas le Grand Nord tout de même, mais le changement est notable, et le paysage se transforme avec beaucoup de forêts de Karri trees, une variété d’Eucalyptus, pouvant atteindre, pour le plus grand, 132 mètres ; d’ailleurs à ce sujet nous nous sommes permis de prendre une photo de l’un d’eux, qui nous a permis tout de même de se tenir à 3 debout à l’intérieur du tronc, ainsi que…notre voiture !
Margaret River
En poussant un peu plus loin vers Margaret River, ce que l’on pourrait appeler une ville de surfeurs, en dehors du côté cool, relax, sans soucis, etc. Des habitants, dont une bonne partie passent leur vie à surfer... on a le sentiment que cette ville est un peu une ville de passage. Petite anecdote, un soir alors que je jouais au billard avec un de mes cousins contre deux locaux, un de ces derniers me demanda ce que je faisais ; lorsque je lui indiquais, qu’il fallait que je retourne en France en raison de mon travail, il m’a gentiment souri en me demandant de ne plus prononcer le mot « travail » dans ce lieu car il n’était guère apprécié. Le lendemain, nous sommes allés en bord de mer voir une compétition de, devinez-quoi ? de surf bien sûr ! Ce qui m’a marqué à ce moment là fut tout d’abord, que nous étions avec des doudounes….donc il faisait assez frisquet ; et puis les officiels de cette compétition se trouvaient dans une vieille caravane qui devait avoisiner l’âge honorable d’une quinzaine d’années.
Cape Leeuwin Augusta
Toujours en descendant vers le sud, juste en passant Augusta, on arrive au Cap Leeuwin, un très beau phare dont la construction remonte à la fin du 19° siècle. Ce qu’il a de particulier, réside dans sa position, à l’intersection entre deux océans : Indien et du Sud. La sieste que l’on y fit fut des plus agréables, à rêver voir passer des baleines lors de leur migration vers le sud.
Pemberton
Pour finir notre périple vers le sud, nous nous sommes rendus à Pemberton, une petite ville dont le principal attrait est d’être entourée de forêts, dans lesquelles il est possible d’escalader un des arbres culminant à 75 mètres.
Sur notre chemin du retour, nous nous sommes arrêtés pour déjeuner dans un petit snack et avons vu une photo prise deux jours auparavant, d’un requin blanc d’environ 3m50 avec un homme lui tenant la mâchoire grande ouverte.
L’Australie Occidentale est l’état le plus grand du pays et - tout commele reste du territoire - est habité essentiellement le long des côtes. La majeure partie des habitants se concentrent autour de Perth : 1,3 M à Perth pour 1,9 M dans tout l’état.
Perth
La ville a été construite en bord de la Swan River avec à l’ouest de la ville, le très plaisant Kings Park surplombant celle-ci.La banlieue est composée d’endroits tels que Subiaco, dont le marché, tout comme celui de Fremantle, est à la hauteur de sa réputation. Fremantle située à 20 kilomètres au Sud s’est fait connaître pour sa participation à la prestigieuse Coupe de l’America en 1986-1987. Par ailleurs, le port de la ville est le plus important de l’état.
Un des particularités climatiques de Perth est un changement de temps très rapide ; voilà je m’explique : il peut tomber une bonne averse et puis, en raison d’un vent assez fort (surnommé le Freo Dr, le docteur de Fremantle) le sol devient sec en une dizaine de minutes.
En ce qui me concerne mon intérêt pour cette ville et cet état vient tout d’abord de l’établissement de plusieurs membres de ma famille dans les années 70-80. Y étant allé à 3 reprises, j’ai bien évidemment été séduit en premier lieu par le climat exceptionnel et quasi parfait, ainsi que par le côté « Zéro stress » qui plane au dessus de cette région du monde, et qui n’a pas beaucoup de mal à vous enivrer.
Tout le monde n’a d’yeux que pour la côte Est, mais croyez-moi et donnez vous la peine d’aller visiter le W.A, vous ne pourrez qu’être séduits. Il existe aussi une barrière de corail, ne serait-ce que protégeant la petite île de Rottnest Island à une vingtaine de kilomètres au large de Perth ; cette île abrite une faune des plus particulières : les Quokkas, de petits marsupiaux qui en apparence semblent issus d’un croisement entre un kangourou et un rat.
Ce qui est amusant aussi de la part des gens habitant cette région, c’est que pour eux les distances ne sont rien : il est arrivé à un de mes cousins de nous proposer de nous amener visiter les Pinnacles dans le Nambung National Park, à environ 270 kilomètres au nord de Perth, tout ça pour pouvoir y passer la nuit (et oui le départ vers ce lieu s’est fait à presque 16h) ainsi que profiter du lever du soleil le lendemain matin dans ce paysage lunaire.
Paradoxalement, cet état n’est pas qu’un vaste désert, un endroit essentiellement sec, mais en descendant vers le Sud, les températures se rafraîchissent, bon d’accord ce n’est pas le Grand Nord tout de même, mais le changement est notable, et le paysage se transforme avec beaucoup de forêts de Karri trees, une variété d’Eucalyptus, pouvant atteindre, pour le plus grand, 132 mètres ; d’ailleurs à ce sujet nous nous sommes permis de prendre une photo de l’un d’eux, qui nous a permis tout de même de se tenir à 3 debout à l’intérieur du tronc, ainsi que…notre voiture !
Margaret River
En poussant un peu plus loin vers Margaret River, ce que l’on pourrait appeler une ville de surfeurs, en dehors du côté cool, relax, sans soucis, etc. Des habitants, dont une bonne partie passent leur vie à surfer... on a le sentiment que cette ville est un peu une ville de passage. Petite anecdote, un soir alors que je jouais au billard avec un de mes cousins contre deux locaux, un de ces derniers me demanda ce que je faisais ; lorsque je lui indiquais, qu’il fallait que je retourne en France en raison de mon travail, il m’a gentiment souri en me demandant de ne plus prononcer le mot « travail » dans ce lieu car il n’était guère apprécié. Le lendemain, nous sommes allés en bord de mer voir une compétition de, devinez-quoi ? de surf bien sûr ! Ce qui m’a marqué à ce moment là fut tout d’abord, que nous étions avec des doudounes….donc il faisait assez frisquet ; et puis les officiels de cette compétition se trouvaient dans une vieille caravane qui devait avoisiner l’âge honorable d’une quinzaine d’années.
Cape Leeuwin Augusta
Toujours en descendant vers le sud, juste en passant Augusta, on arrive au Cap Leeuwin, un très beau phare dont la construction remonte à la fin du 19° siècle. Ce qu’il a de particulier, réside dans sa position, à l’intersection entre deux océans : Indien et du Sud. La sieste que l’on y fit fut des plus agréables, à rêver voir passer des baleines lors de leur migration vers le sud.
Pemberton
Pour finir notre périple vers le sud, nous nous sommes rendus à Pemberton, une petite ville dont le principal attrait est d’être entourée de forêts, dans lesquelles il est possible d’escalader un des arbres culminant à 75 mètres.
Sur notre chemin du retour, nous nous sommes arrêtés pour déjeuner dans un petit snack et avons vu une photo prise deux jours auparavant, d’un requin blanc d’environ 3m50 avec un homme lui tenant la mâchoire grande ouverte.