T
10.8.2002 2h45. Je me réveillais, il était 2h45. Le réveil devait sonner vers 3h. Je me levais pour aller voir le radar sur Internet. Ce que je voyais me calmait. La pluie était surtout tout au bord ouest de la Suisse, et en France, et puis encore à l’est, mais selon le radar, la route que nous allions prendre était libre. Une autre recherche sur wetter.com donnait rien de grave, quelques orages, c’est tout. A 3h15 j’ai réveillé Mike. Il n’avait pas entendu le réveil. Un dernier café, une tartine et on était prêts. Michel (notre fils) nous a aidé a porter les bagages, les poser et ficeler sur le Trike et il était temps de dire au revoir. Pleine nuit, la petite cloche de vache accrochée derrière le Trike était le seul bruit qui nous accompagnait, à part bien entendu le bruit du moteur.
A peine fait 10 kilomètres, en arrivant sur Fribourg, la première des choses à faire, faire le plein d’essence, puis s’engager sur la route nous menant direction autoroute. Mais là quelques gouttes de pluie commencèrent à tomber. Il valait donc mieux se mettre la combinaison de pluie. Voilà un voyage qui commençait bien...
Nous avions trouvé une place pour s’arrêter, et il faut dire que ce n’est pas si simple de se mettre cette combinaison par dessus. Nous nous sommes entraidé et à la fin nous étions pratiquement étanches. J’ai eu l’impression d’être un bonhomme Michelin, avec tout ce que j’avais sur moi, je ne pouvais presque plus bouger.
En fin nous pouvions partir pour de bon, direction autoroute, Vevey. La pluie tombait de plus en plus fort. Mais pas question de se gâter l’humeur par ce temps. Nous étions en vacances et rien, RIEN ne pourrait nous empêcher d’avoir du plaisir.
Sur la descente vers Vevey, la pluie tombait encore plus intense. On n’y voyait plus grand chose, et on avait l’impression de se noyer sous le casque jet.
Entre Vevey et Montreux, la pluie cessait. Eh bien, n’avais-je pas dit que cela ira ? Seulement je me suis réjouit trop tôt. Quelques kilomètres et revoilà les gouttes... Nous nous sommes arrêté au relais du Grand Saint Bernard à Martigny, nous réchauffer, boire un café, aller aux toilettes encore une fois, avant la grande montée vers le tunnel du Grand Saint Bernard. La route serait encore bien longue.
Après cette petite pause, il fallait à nouveau sortir sous la pluie qui n’avait pas cessé. Elle nous accompagnait tout le long, en montant le col jusqu’au tunnel. Plus on s’approchait du tunnel, plus il faisait froid. A la frontière, les douaniers sont restés dans leur maisonnette, sans doutes il n’y avait pas de quoi nous contrôler, ils devaient se dire que seulement quelques fous pouvaient passer par ce temps en trike. De l’autre côté du tunnel, sans doutes, il fera meilleur. J’en étais sûre. Eh bien non. Tout au contraire. Le jour se levait à peine, quand nous sortions du tunnel, côté Italie. Il faisait froid et il y avait du brouillard, et bien entendu à nouveau cette pluie. Dans un virage, j’ai regardé sur les montagnes derrière nous, il y avait de la neige fraîche ! Eh bien, pas pour rien qu’il faisait un froid de canard !
Chaque mètre que nous descendions de plus, il faisait moins froid. Enfin nous avions atteint Aoste. La ville encore endormie, nous nous sommes arrêtés à une station essence, faire le plein et j’avais à nouveau besoin d’un WC. Tout un art de se sortir de la combi et de la veste de moto pour enfin pouvoir aller faire pipi.
Les gens nous regardaient comme si nous étions des extraterrestres. Je pense qu’on n’y était pas bien loin de cette image, avec tant d’habits nous étions ronds comme des tonneaux, et sur cet engin nommé trike que ces gens n’avait probablement jamais vu au paravent.
Nous voulions faire notre chemin sur la route principale, en évitant l’autoroute, mais après quelques kilomètres sous cette pluie qui ne cessait pas, nous avions dû décider de monter sur l’autoroute. On y avance plus vite, certes, mais les voitures qui dépassent laissaient tomber leur fontaine d’eau sur nous qui nous faisait mal sur la peau du visage. C’était un sentiment d’aiguilles. Peu agréable. Mais il ne faut jamais désespérer, et voir le bon côté des choses. Même qu’il n’y avait rien à rire, nous étions heureux. Même que nous avions des remords, avions-nous bien fait de prendre le Trike et non la voiture ? Et si les 10 jours il allait pleuvoir tout le temps ? Mais il ne faut pas y penser. Voilà la vallée d’Aoste qui est au milieu des montagnes, sorti de là, cela ira mieux....
Eh bien non. Rien à faire, toujours cette maudite pluie. Vers Ivrea il y avait un restoroute. Justement au bon moment, car la pluie tombait d’avantage. Mettre le clignoteur, s’engager à droite pour sortir, et Mike n’a pas vu le petit lac qui s’est formé sur la sortie d’autoroute. C’était comme si nous passions sous un tunnel d’eau. Les fontaines des deux côtés se rencontraient sur nos têtes. Si nous n’avions pas été assez mouillés avant, nous l’étions à présent, et le Trike n’en pouvait plus, moteur noyé, juste assez d’élan pour se mettre sur la place de parc et pour l’instant c’était la fin.
Un tasse de café et certainement que notre situation allait s’améliorer ensuite. Nous sommes rentrés au restaurant, sous les coups de tonnerre et la foudre. Un bel orage. Nous nous sommes installés à une table à rester debout. Sous nos pieds se formaient des flaques d’eau. Il fallait enlever la combinaison, on risquait de devoir rester plus longtemps dans ce restaurant, combien de temps ? On n’en savait rien. Et si le moteur était plus en état de marche ? Mieux vaut pas y penser !
Avec un pain aux olives et une bonne tasse de café, les choses avaient tout de suite une autre allure. A ce moment une éclaire, un bon coup de tonnerre, et plus d’électricité sur la station...J’ai piqué un fou rire, provoqué par cette situation plus tôt grotesque. Heureusement qu’il y avait assez de fenêtres, sinon rester dans le noir en plus....Pas moyen de s’acheter quoi que ce soit, les caisses enregistreuses ne marchaient plus non plus et bien entendu pas de café non plus. J’ai eu envie de raconter notre aventure à Michel, mais comme celui-ci devait certainement encore dormir, je lui ai fait parvenir juste un sms. Mike a cependant téléphoné avec notre ami mécano sur Trikes, et lui demandait conseil. Celui-ci disait, qu’il fallait sortir le Trike de la pluie, le mettre au sec et attendre que l’eau s’écoule et ensuite cela devrait marcher à nouveau. Mais quel petit malin..... il n’y avait pas moyen de pousser le Trike à un endroit sec, et il pleuvait toujours aussi fort qu’avant. Nous nous sommes préparés à rester là pendant des heures. L’électricité tentait parfois de revenir, mais plus que quelques secondes elle ne tenait pas. Finalement après quelques 2 ou 3 heures, le ciel se dégageait un peu et la pluie cessait. Nous nous sommes remis nos combinaisons de pluie et avons essayé de démarrer le Trike. Parfait, tout fonctionnait à nouveau. En route pour la prochaine étape !
Super, pas de pluie... mais après 20 minutes nous avions rattrapé sans doutes les nuages et la pluie était de retours. Hélas. Et à nouveau il fallait avaler pas mal d’eau, nettoyer sans arrêt la visière pour au moins pouvoir voir un peu. Encore quelques kilomètres et on n’en pouvait plus. Mike tremblait de tête en pieds, car non seulement tout était mouillé (la pluie avait commencé à pénétrer un peu partout, couler le long du cou jusque dans le dos etc.) mais par dessus le marché il faisait bien froid. Un autre restoroute, il fallait s’arrêter. Manger du chaud (des spaghettis), un bon café tout chaud, et... un lit serait pas mal à présent, et une bonne douche chaude. A la caisse on nous disait qu’à la prochaine sortie d’autoroute on allait trouver un hôtel. Bon au moins pas trop loin. Un peu de courage et on repartais sous la pluie. Arrivés à Castel san Giovanni, pas facile de trouver un hôtel. Heureusement que je parles italien, j’ai demandé dans un magasin, on ne savait pas m’aider, mais à une station essence il y avait des gens super sympa, et un monsieur nous montrait le chemin en roulant avec sa voiture devant nous. Et voilà un hôtel. Il y avait encore des chambres libres et quand j’ai demandé s’ils avaient un endroit sûr où parquer notre trike, le monsieur est sorti sur la route pour voir notre engin, et il nous montrait un endroit dans la cour derrière l’hôtel. Le monsieur faisait de la place sous une tente, pour que notre trike pouvait rester au sec. Très gentil ! Merci ! Vite nous avons pris le sac avec les habits de rechange, et une valise de côté, et sommes montés dans notre chambre. Pas facile d’enlever les habits totalement mouillés, et un juron quand nous avons vu la bêtise que nous avons fait.. le sac avec les habits de rechange n’a pas tenu bon, et tout était mouillé, y. c. le pantalon de rechange en cuire de Mike. Quel désastre... Mais heureusement il y avait assez de trucs secs dans le box du trike. Pendant que Mike prenait une bonne douche chaude, j’essayais de me réchauffer en restant bien au lit. Pas possible de prendre une douche, j’avais trop froid. Dormir un peu pour récupérer quelques forces. Vers 16h30 je me suis réveillée, et il me semblait que dehors il faisait plus clair qu’avant. J’ai regardé à travers les stores baissés, et que vois-je ? Du soleil ! ! ! ! Mais le beau temps ne tenait pas longtemps. Vers le soir, nous sommes descendus au restaurant pour manger. Il y avait que des bonnes choses, j’ai décidé que nous devions commencer par une bonne minestrone toute chaude, faite maison. Elle était succulente ! Puis Mike prenait un steak avec des frittes et des courgettes, et moi du melon et du jambon de parme. Nous nous sommes couchés tôt ce soir-là.
A peine fait 10 kilomètres, en arrivant sur Fribourg, la première des choses à faire, faire le plein d’essence, puis s’engager sur la route nous menant direction autoroute. Mais là quelques gouttes de pluie commencèrent à tomber. Il valait donc mieux se mettre la combinaison de pluie. Voilà un voyage qui commençait bien...
Nous avions trouvé une place pour s’arrêter, et il faut dire que ce n’est pas si simple de se mettre cette combinaison par dessus. Nous nous sommes entraidé et à la fin nous étions pratiquement étanches. J’ai eu l’impression d’être un bonhomme Michelin, avec tout ce que j’avais sur moi, je ne pouvais presque plus bouger.
En fin nous pouvions partir pour de bon, direction autoroute, Vevey. La pluie tombait de plus en plus fort. Mais pas question de se gâter l’humeur par ce temps. Nous étions en vacances et rien, RIEN ne pourrait nous empêcher d’avoir du plaisir.
Sur la descente vers Vevey, la pluie tombait encore plus intense. On n’y voyait plus grand chose, et on avait l’impression de se noyer sous le casque jet.
Entre Vevey et Montreux, la pluie cessait. Eh bien, n’avais-je pas dit que cela ira ? Seulement je me suis réjouit trop tôt. Quelques kilomètres et revoilà les gouttes... Nous nous sommes arrêté au relais du Grand Saint Bernard à Martigny, nous réchauffer, boire un café, aller aux toilettes encore une fois, avant la grande montée vers le tunnel du Grand Saint Bernard. La route serait encore bien longue.
Après cette petite pause, il fallait à nouveau sortir sous la pluie qui n’avait pas cessé. Elle nous accompagnait tout le long, en montant le col jusqu’au tunnel. Plus on s’approchait du tunnel, plus il faisait froid. A la frontière, les douaniers sont restés dans leur maisonnette, sans doutes il n’y avait pas de quoi nous contrôler, ils devaient se dire que seulement quelques fous pouvaient passer par ce temps en trike. De l’autre côté du tunnel, sans doutes, il fera meilleur. J’en étais sûre. Eh bien non. Tout au contraire. Le jour se levait à peine, quand nous sortions du tunnel, côté Italie. Il faisait froid et il y avait du brouillard, et bien entendu à nouveau cette pluie. Dans un virage, j’ai regardé sur les montagnes derrière nous, il y avait de la neige fraîche ! Eh bien, pas pour rien qu’il faisait un froid de canard !
Chaque mètre que nous descendions de plus, il faisait moins froid. Enfin nous avions atteint Aoste. La ville encore endormie, nous nous sommes arrêtés à une station essence, faire le plein et j’avais à nouveau besoin d’un WC. Tout un art de se sortir de la combi et de la veste de moto pour enfin pouvoir aller faire pipi.
Les gens nous regardaient comme si nous étions des extraterrestres. Je pense qu’on n’y était pas bien loin de cette image, avec tant d’habits nous étions ronds comme des tonneaux, et sur cet engin nommé trike que ces gens n’avait probablement jamais vu au paravent.
Nous voulions faire notre chemin sur la route principale, en évitant l’autoroute, mais après quelques kilomètres sous cette pluie qui ne cessait pas, nous avions dû décider de monter sur l’autoroute. On y avance plus vite, certes, mais les voitures qui dépassent laissaient tomber leur fontaine d’eau sur nous qui nous faisait mal sur la peau du visage. C’était un sentiment d’aiguilles. Peu agréable. Mais il ne faut jamais désespérer, et voir le bon côté des choses. Même qu’il n’y avait rien à rire, nous étions heureux. Même que nous avions des remords, avions-nous bien fait de prendre le Trike et non la voiture ? Et si les 10 jours il allait pleuvoir tout le temps ? Mais il ne faut pas y penser. Voilà la vallée d’Aoste qui est au milieu des montagnes, sorti de là, cela ira mieux....
Eh bien non. Rien à faire, toujours cette maudite pluie. Vers Ivrea il y avait un restoroute. Justement au bon moment, car la pluie tombait d’avantage. Mettre le clignoteur, s’engager à droite pour sortir, et Mike n’a pas vu le petit lac qui s’est formé sur la sortie d’autoroute. C’était comme si nous passions sous un tunnel d’eau. Les fontaines des deux côtés se rencontraient sur nos têtes. Si nous n’avions pas été assez mouillés avant, nous l’étions à présent, et le Trike n’en pouvait plus, moteur noyé, juste assez d’élan pour se mettre sur la place de parc et pour l’instant c’était la fin.
Un tasse de café et certainement que notre situation allait s’améliorer ensuite. Nous sommes rentrés au restaurant, sous les coups de tonnerre et la foudre. Un bel orage. Nous nous sommes installés à une table à rester debout. Sous nos pieds se formaient des flaques d’eau. Il fallait enlever la combinaison, on risquait de devoir rester plus longtemps dans ce restaurant, combien de temps ? On n’en savait rien. Et si le moteur était plus en état de marche ? Mieux vaut pas y penser !
Avec un pain aux olives et une bonne tasse de café, les choses avaient tout de suite une autre allure. A ce moment une éclaire, un bon coup de tonnerre, et plus d’électricité sur la station...J’ai piqué un fou rire, provoqué par cette situation plus tôt grotesque. Heureusement qu’il y avait assez de fenêtres, sinon rester dans le noir en plus....Pas moyen de s’acheter quoi que ce soit, les caisses enregistreuses ne marchaient plus non plus et bien entendu pas de café non plus. J’ai eu envie de raconter notre aventure à Michel, mais comme celui-ci devait certainement encore dormir, je lui ai fait parvenir juste un sms. Mike a cependant téléphoné avec notre ami mécano sur Trikes, et lui demandait conseil. Celui-ci disait, qu’il fallait sortir le Trike de la pluie, le mettre au sec et attendre que l’eau s’écoule et ensuite cela devrait marcher à nouveau. Mais quel petit malin..... il n’y avait pas moyen de pousser le Trike à un endroit sec, et il pleuvait toujours aussi fort qu’avant. Nous nous sommes préparés à rester là pendant des heures. L’électricité tentait parfois de revenir, mais plus que quelques secondes elle ne tenait pas. Finalement après quelques 2 ou 3 heures, le ciel se dégageait un peu et la pluie cessait. Nous nous sommes remis nos combinaisons de pluie et avons essayé de démarrer le Trike. Parfait, tout fonctionnait à nouveau. En route pour la prochaine étape !
Super, pas de pluie... mais après 20 minutes nous avions rattrapé sans doutes les nuages et la pluie était de retours. Hélas. Et à nouveau il fallait avaler pas mal d’eau, nettoyer sans arrêt la visière pour au moins pouvoir voir un peu. Encore quelques kilomètres et on n’en pouvait plus. Mike tremblait de tête en pieds, car non seulement tout était mouillé (la pluie avait commencé à pénétrer un peu partout, couler le long du cou jusque dans le dos etc.) mais par dessus le marché il faisait bien froid. Un autre restoroute, il fallait s’arrêter. Manger du chaud (des spaghettis), un bon café tout chaud, et... un lit serait pas mal à présent, et une bonne douche chaude. A la caisse on nous disait qu’à la prochaine sortie d’autoroute on allait trouver un hôtel. Bon au moins pas trop loin. Un peu de courage et on repartais sous la pluie. Arrivés à Castel san Giovanni, pas facile de trouver un hôtel. Heureusement que je parles italien, j’ai demandé dans un magasin, on ne savait pas m’aider, mais à une station essence il y avait des gens super sympa, et un monsieur nous montrait le chemin en roulant avec sa voiture devant nous. Et voilà un hôtel. Il y avait encore des chambres libres et quand j’ai demandé s’ils avaient un endroit sûr où parquer notre trike, le monsieur est sorti sur la route pour voir notre engin, et il nous montrait un endroit dans la cour derrière l’hôtel. Le monsieur faisait de la place sous une tente, pour que notre trike pouvait rester au sec. Très gentil ! Merci ! Vite nous avons pris le sac avec les habits de rechange, et une valise de côté, et sommes montés dans notre chambre. Pas facile d’enlever les habits totalement mouillés, et un juron quand nous avons vu la bêtise que nous avons fait.. le sac avec les habits de rechange n’a pas tenu bon, et tout était mouillé, y. c. le pantalon de rechange en cuire de Mike. Quel désastre... Mais heureusement il y avait assez de trucs secs dans le box du trike. Pendant que Mike prenait une bonne douche chaude, j’essayais de me réchauffer en restant bien au lit. Pas possible de prendre une douche, j’avais trop froid. Dormir un peu pour récupérer quelques forces. Vers 16h30 je me suis réveillée, et il me semblait que dehors il faisait plus clair qu’avant. J’ai regardé à travers les stores baissés, et que vois-je ? Du soleil ! ! ! ! Mais le beau temps ne tenait pas longtemps. Vers le soir, nous sommes descendus au restaurant pour manger. Il y avait que des bonnes choses, j’ai décidé que nous devions commencer par une bonne minestrone toute chaude, faite maison. Elle était succulente ! Puis Mike prenait un steak avec des frittes et des courgettes, et moi du melon et du jambon de parme. Nous nous sommes couchés tôt ce soir-là.