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C’est par ces quelques mots que nous avons rencontré Mbark Abdelmoujoud, tout au bout de la magnifique route goudronnée qui conduit à Mssemrir, au fond des célèbres gorges du Dadès marocaines.
Nous avons accepté son invitation à nous guider sur les chemins et les pistes qui mènent vers les villages des tribus berbères du Haut Atlas (3000m) en remontant la vallée à travers sa suite ininterrompue de jardins et vergers (elle ne porte pas pour rien le nom de vallée des pommiers) irrigués par le Dadès.
Avec lui nous avons rencontré les paysans de la vallée.
Dans ces superbes paysages de montagne, nous les avons vus travailler ces lopins de terre rouge qui leur donnent le blé, les légumes et le fourrage.
Nous avons vécu leur gentillesse sincère et leur hospitalité légendaire, qui veulent qu’au détour du chemin chacun vous offre spontanément de partager le thé, le pain, l’huile d’olive ou le beurre en dépit de la rudesse d’une vie menée dans un dénuement difficilement imaginable pour un européen du XXI siècle.
Nous avons plaisanté avec leurs enfants, qui avec la même spontanéité que leurs parents, vous proposent de partager un sandwich à la purée de poids chiches grignoté sur le chemin du retour de l’école.
Nous avons vu les préparatifs du grand souk hebdomadaire qui voit converger tous ce que la vallée et les vallées environnantes peuvent compter comme habitants.
Nous avons appris à reconnaître ces petites différences (vestimentaires, architecturales, coutumières …) qui marquent les appartenances à l’une ou l’autre des tribus cousines de la vallée.
Au travers de deux longues ballades à pied (sans difficulté, réalisées avec 2 enfants de 10 et 14 ans), nous ne sommes restés que 2 jours dans la vallée … pourtant nous en sommes repartis le carnet d’adresses rempli et déjà invités à revenir séjourner plus longtemps chez l’habitant.
Aucun doute, si le village de Msserir est bien au bout de la route il n’est certainement pas le bout du monde.
Mbark Abdelmoujoud n’est pas guide professionnel. S’il a décidé de vivre au milieu des siens, il n’en est par moins licencié es sciences économiques et parle parfaitement le français.
Son idéalisme et ses convictions très fortes le portent vers des projets d’écotourisme responsable et solidaire pour sa vallée.
Si vous souhaitez l’aider à mettre en œuvre ses projets ;
Si vous partez au Maroc et envisagez de sortir des hôtels de Marrakech ;
Si vous souhaitez vous aussi pratiquer un tourisme simple tourné d’avantage vers la rencontre et l’éveil que la simple consommation formatée …
Allez visiter la vallée du Dadès et n’hésitez pas à poursuivre la route jusqu’au bout du goudron ;
Surtout n’hésitez pas à prendre contact avec Mbark Abdelmoujoud :
abdel_mba@yahoo.fr
Msserir centre - Ouarzazate - CP 45 450 - Maroc
Contact téléphonique par le restaurant Agdal à Msserir (Brahim : 076 72 73 39)
Nous avons accepté son invitation à nous guider sur les chemins et les pistes qui mènent vers les villages des tribus berbères du Haut Atlas (3000m) en remontant la vallée à travers sa suite ininterrompue de jardins et vergers (elle ne porte pas pour rien le nom de vallée des pommiers) irrigués par le Dadès.
Avec lui nous avons rencontré les paysans de la vallée.
Dans ces superbes paysages de montagne, nous les avons vus travailler ces lopins de terre rouge qui leur donnent le blé, les légumes et le fourrage.
Nous avons vécu leur gentillesse sincère et leur hospitalité légendaire, qui veulent qu’au détour du chemin chacun vous offre spontanément de partager le thé, le pain, l’huile d’olive ou le beurre en dépit de la rudesse d’une vie menée dans un dénuement difficilement imaginable pour un européen du XXI siècle.
Nous avons plaisanté avec leurs enfants, qui avec la même spontanéité que leurs parents, vous proposent de partager un sandwich à la purée de poids chiches grignoté sur le chemin du retour de l’école.
Nous avons vu les préparatifs du grand souk hebdomadaire qui voit converger tous ce que la vallée et les vallées environnantes peuvent compter comme habitants.
Nous avons appris à reconnaître ces petites différences (vestimentaires, architecturales, coutumières …) qui marquent les appartenances à l’une ou l’autre des tribus cousines de la vallée.
Au travers de deux longues ballades à pied (sans difficulté, réalisées avec 2 enfants de 10 et 14 ans), nous ne sommes restés que 2 jours dans la vallée … pourtant nous en sommes repartis le carnet d’adresses rempli et déjà invités à revenir séjourner plus longtemps chez l’habitant.
Aucun doute, si le village de Msserir est bien au bout de la route il n’est certainement pas le bout du monde.
Mbark Abdelmoujoud n’est pas guide professionnel. S’il a décidé de vivre au milieu des siens, il n’en est par moins licencié es sciences économiques et parle parfaitement le français.
Son idéalisme et ses convictions très fortes le portent vers des projets d’écotourisme responsable et solidaire pour sa vallée.
Si vous souhaitez l’aider à mettre en œuvre ses projets ;
Si vous partez au Maroc et envisagez de sortir des hôtels de Marrakech ;
Si vous souhaitez vous aussi pratiquer un tourisme simple tourné d’avantage vers la rencontre et l’éveil que la simple consommation formatée …
Allez visiter la vallée du Dadès et n’hésitez pas à poursuivre la route jusqu’au bout du goudron ;
Surtout n’hésitez pas à prendre contact avec Mbark Abdelmoujoud :
abdel_mba@yahoo.fr
Msserir centre - Ouarzazate - CP 45 450 - Maroc
Contact téléphonique par le restaurant Agdal à Msserir (Brahim : 076 72 73 39)