Transit par Pékin

Dates du voyage

du 10 au 26 juillet 2006. Nous étions vingt-et-un dans le groupe. Outre nos chauffeurs et Clément, notre accompagnateur français, nos guides locaux Enkhee puis Oyunaa, il y avait Huguette et François, Marie-Chantal et Marie-Paule, Suzanne et Rosy, Françoise, Patricia, Jean et Nicole, Marie-Claire, Simone, Daniel et Elizabeth, Simone, Maryvonne, Michelle, Claudine, et mon épouse Danielle. Chacun avait sa personnalité mais tout le monde avait l'esprit de groupe et jamais personne n'est arrivé en retard, même lorsqu'il fallait se lever tôt le matin. Grâce à cela, l'ambiance a été excellente tout au long du séjour.

10 Juillet

Départ pour Roissy Charles de Gaulle.

11 Juillet

Il avait été prévu de partir de Paris pour Oulan Bator via Berlin mais à cause d'une erreur de la MIAT, la compagnie aérienne mongole, nous devons transiter par Pékin. De plus, nous partons avec une heure de retard à cause d'un passager chinois qui ne retrouve plus son billet.

11 Juillet

Après environ 10 h de vol nous ratons notre avion pour la capitale mongole. Clément, notre guide se débrouille très bien et nous trouve un hôtel pour la nuit puis un bus pour nous emmener faire un tour en ville. Ce petit contretemps ne me dérange guère car je ne connais absolument pas la Chine. Ce qui me frappe tout de suite, c'est la chaleur lourde et humide, ainsi que l'air pollué de Pékin. Il n'y a plus de cols Mao dans les rues et les vélos sont beaucoup moins nombreux que les voitures. On peut voir des chantiers partout car le pays se prépare à accueillir les Jeux Olympiques de 2008. Nous visitons l'immense et tristement célèbre place Tian An Men ainsi que le parc de la Colline du charbon (Jing Shan Park). C'est dans ce lieu que je vois mes premières PIES BLEUES. Elles sont très différentes de nos PIES BAVARDES mais tout aussi bruyantes. Un peu plus loin, je reconnais une TOURTERELLE ORIENTALE à sa grande taille.

J'ai pu remarquer à plusieurs détails que l'on ne badinait pas avec l'autorité en Chine. L'ordre règne certes mais cela n'enlève en rien l'impression assez pénible que je ressens en voyant défiler au pas militaire ces employés d'une compagnie aérienne se rendant à leurs bureaux. Le soir, un violent orage déverse des trombes d'eau sur une population visiblement habituée à ce genre de phénomène. L'Hôtel Tian Yi que Clément nous a trouvé est tout à fait correct et nous y passons une très bonne nuit.

Pékin, place Tian An MenPékin, place Tian An Men